Les plus jolies fautes de français de nos grands écrivains
Anne Boquel et Etienne Kern
Édit. PAYOT
Que celui qui n'a jamais fauté jette la première pierre. Le meilleur et le plus sûr moyen pour ne pas faire de fautes de syntaxe ou d'orthographe c'est encore de ne pas écrire car dès la première ligne on s'expose au pire, à l'opprobre et à devoir rentrer six pieds sous terre sous l'œil narquois ou réprobateur du censeur. "Mais l'œil était dans la tombe et regardait Caïn". Vergogne!
Puisque nous en sommes aux citations bibliques: " Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l'œil de ton frère et n'aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton œil à toi ! ", tant il est vrai qu'on voit mieux les errements de l'autre que les siennes propres. C'est ainsi.
Alors régalons-nous avec ce petit livre qui nous révèle les failles de nos grands auteurs, car personne n'est à l'abri! Gide, Baudelaire, Camus, Zola, Voltaire seront les premiers à mettre au pilori (sans oublier leurs éditeurs qui n'y ont vu que du feu!)
Exemple: Maupassant ! "Je sortis et j'entrai dans une brasserie où j'absorbai deux tasses de café et quatre ou cinq petits vers pour me donner du courage. (La Patronne, dans la revue La Lanterne en 1889).
Si vous voulez poursuivre l'exploration de cette planète c'est ici:
https://www.herodote.net/Des_fautes_d_orthographe_ou_on_ne_les_attend_pas-article-1712.php
NDLR: si vous repérez des fôtes dans ce texte, ne le dites à Personne, il serait capable de le répéter.
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