Il est un usage bien sympathique chaque année de faire des blagues pour le 1er avril et nous n'y avons jamais failli. C'est une tradition. Pourtant cette année il n'y en aura pas ici. Ne cherchez pas où l'une d'elle peut se cacher.
L'époque, même si elle ne nous interdit pas le rire, reste grave. Quand on regarde jours après jours les sinistres décomptes officiels des contaminations, des hospitalisations et des décès, le cœur n'y est pas et ce serait là une forme d'indécente, pire une faute de goût.
Nous nous rattraperons l'an prochain. Promis!
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